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Est-il intéressant d’investir dans une SCPI fiscale et comment l’intégrer dans votre portefeuille ?

l’exploitation immobilière qui est prise en charge par un tiers. À cela s’ajoute la possibilité de réduire votre impôt sur le revenu au moyen des SCPI fiscales. Est-il intéressant d’y souscrire et comment l’intégrer dans votre portefeuille ?

 

Les SCPI : de l'immobilier comme socle

Rappelons brièvement le fonctionnement de ce véhicule d’investissement qu’est la société civile de placement immobilier (SCPI). C’est un ensemble d’immeubles de rendement ou d’immeubles patrimoniaux qui constituent son patrimoine. Si les premiers sont loués par des professionnels, les seconds sont des biens résidentiels qui sont exploités sous certains dispositifs fiscaux. Il s’agit alors du parc des SCPI fiscales.

Ces dispositifs fiscaux sont la loi Pinel, la loi Denormandie, la loi Malraux et le dispositif du déficit foncier. Lorsque vous investissez dans une SCPI fiscale, vous profitez des mêmes conditions de défiscalisation que dans le cas d’un investissement dans l’immobilier physique. Cependant, c’est un exploitant qui gère les acquisitions et la gestion locative. En ce qui concerne la réduction d’impôt, elle provient directement de l’administration fiscale, après déclaration à votre niveau au moyen de l’Imprimé fiscal unique (IFU) que vous remet l’exploitant de la SCPI.

 

Quelle réduction d’impôt avec les SCPI fiscales ?

Le montant de la réduction d’impôt est fonction de celui que vous avez investi, en tenant compte du taux de défiscalisation : celui-ci varie d’un dispositif à l’autre.

  • les SCPI Pinel : elles reposent sur de l’immobilier neuf ayant été construits dans les zones tendues (A Bis, A et B1). Elles génèrent une réduction d’impôt de 10.5%, de 15% ou de 17.5% pour les investissements acquis en 2023. Ce, dépendant de la durée de conservation des parts : 6 ans, 9 ans ou 12 ans. La durée de détention des parts pour la majorité des SCPI Pinel est de 9 ans. Si les immeubles ont été acquis via le dispositif Pinel Plus, la réduction d’impôt est de 12%, 18% ou 21%
  • les SCPI Denormandie : leur patrimoine se compose d’immeubles anciens implantés dans les communes soumis au programme “Action coeur de ville”. Ces immeubles sont destinés à la rénovation et la réduction d’impôt est de 12%, 18% ou 21% pour une détention des parts de 6 ans, 9 ans ou 12 ans
  • les SCPI Malraux : ce sont aussi des immeubles anciens qui rejoignent le patrimoine de celles-ci, mais qui font partie des biens à caractère historique, implantés dans des sites patrimoniaux. Par exemple, les anciens quartiers et les quartiers dégradés caractérisés par leur patrimoine architectural. La rénovation est requise, et nécessite en particulier l’intervention d’un architecte des bâtiments de FranceInvestir dans l’immobilier géré et en souscrivant à des parts de sociétés accessibles à tous : c’est possible grâce aux SCPI. Vous percevez des revenus locatifs du fait de l’exploitation immobilière qui est prise en charge par un tiers. À cela s’ajoute la possibilité de réduire votre impôt sur le revenu au moyen des SCPI fiscales. Est-il intéressant d’y souscrire et comment [...]

Le PER facultatif et le PER obligatoire : comment ça fonctionne ?

Le PER facultatif et le PER obligatoire : comment ça fonctionne ?
L’ouverture et les versements dans un PER individuel sont facultatifs. C’est en fonction des sommes que vous versez que vous faites progresser votre capital afin d’obtenir une cagnotte consistante au moment où vous partez à la retraite. Celle-ci est alors convertie en rentes viagères. Vous avez aussi la possibilité d'effectuer une sortie en capital.

Ces sommes que vous injectez dans le PERIN sont réintroduites dans des supports qui sont des titres vifs (pour le PER compte-titres), additionnés des fonds en euros (pour le PER assurance).

Notons en effet, que ces 2 types de PER sont disponibles pour le PERIN – ce qui n’est pas le cas pour le PERCOL et le PERCAT. Le PER compte-titre est commercialisé par les banques et propose une multitude de supports financiers. Le PER assurance est disponible auprès des compagnies d’assurance et des mutuelles. Il contient des fonds en euros, comme cité plus haut, en plus des titres vifs, lesquels ne sont pas aussi nombreux que ceux du PER compte-titres, toutefois. Le PERIN est ouvert à tous les épargnants et aux travailleurs indépendants.

 

Le PERCOL : un plan facultatif

Le PERCOL est proposé par l’employeur et auquel tous les salariés ont droit. Cependant, ces derniers ne sont pas dans l’obligation d’y souscrire. Les principales sources d’alimentation du PERCOL sont les participations et les intéressements de l’employeur. Notons que si le salarié a renoncé à l’ouverture d’un PERCOL, ceux-ci sont directement virés sur son compte courant pour être immédiatement consommés. Or, une fois déposés dans un PER, intéressements et participations sont bloqués jusqu’au départ à la retraite. L’employeur peut aussi verser des abondements dans le PERCOL de son salarié. Quant à ce dernier, il est libre de booster son épargne grâce à ses propres versements.

Les sommes injectées dans un PERCOL sont mutées sur des Fonds Communs de Placement d’entreprise (FCPE). Ce sont des OPCVM (organismes de placement collectif en valeurs mobilières). Rappelons que les porteurs de parts pour ces OPCVM sont des salariés ou d’anciens salariés d’entreprise, à la différence des copropriétés de valeurs mobilières des PER individuels.

 

Le PERCAT : un plan obligatoire

Le PERCAT est ouvert à une certaine catégorie de salariés uniquement. Les dirigeants d’entreprise y souscrivent. Il diffère du PERCOL. Les versements sont obligatoires, tant pour l’employeur que pour le titulaire. Ce dernier peut ainsi opter pour des versements programmés afin d’alimenter régulièrement son plan, en addition avec les primes introduites par son employeur.

Les supports destinés à faire fructifier le PERCAT sont les mêmes que pour le PERCOL, c’est-à-dire des FCPE.

 

Notons que si le PERIN et le PERCOL autorisent la double sortie (en capital et en rente) au moment du départ à la retraite, le PERCAT ne donne lieu qu’à une sortie en rente viagère uniquement. De même, la sortie anticipée pour l’achat de la résidence principale n’est pas disponible au sein du PERCAT. Cette option est cependant ouverte aux épargnants du PERIN et du PERCOL. Quoi qu’il en soit, celui qui détient un PER, quelle que soit sa catégorie, est autorisé à effectuer un déblocage anticipé s’il se retrouve dans une des 5 conditions exceptionnelles Comment préparez-vous votre retraite ? Connaissez-vous le PER ? Le Plan d’épargne retraite est le placement mis en avant par la loi PACTE avec des nouveautés destinées à le rendre plus attractif. Il contient 3 volets : le PER individuel (PERIN), le PER collectif (PERCOL) et le PER catégoriel (PERCAT), dont les deux premiers sont facultatifs et le PERCAT obligatoire. Quelles sont en effet leurs spécificités et dans quel compartiment [...]

Succession : quels sont les droits du conjoint survivant ?

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le partage de l’héritage peut souvent se révéler épineux dans les situations complexes, et il convient de bien connaître les droits de succession afin de mieux appréhender ce tournant. Qu’en est-il du conjoint survivant, en présence ou non d’héritiers réservataires, et quels sont ses droits ?

 

Des droits limités

Le conjoint survivant est un héritier à part entière et il a droit à sa part d’héritage qui est définie par la loi. Celle-ci varie cependant en fonction du nombre d'enfants. En l’absence d’enfant, l’existence d’autres héritiers est recherchée, par exemple les parents du défunt (s’ils sont encore en vie) ou encore les frères et sœurs.

Le conjoint survivant peut choisir entre deux options en ce qui concerne sa part d’héritage : l’usufruit de la totalité des biens du défunt, ou le quart de la pleine propriété.

 

La jouissance en usufruit

Rappelons que l’usufruit est issu du démembrement de la pleine propriété et implique, par conséquent, que ce sont les enfants qui jouissent de la nue-propriété. Dans le cas où l’héritage inclut un bien immobilier, le conjoint survivant qui devient usufruitier a le droit de l’occuper ou de le mettre en location afin d’en percevoir les loyers, jusqu’à son décès. Les nus-propriétaires n’ont pas le droit de le priver de cette jouissance, de même que des fruits de la mise en location. En revanche, ils disposent déjà des murs du bien qui, à l’extinction de l’usufruit au décès de l’usufruitier, devient leur pleine propriété.

Usufruitier et nus-propriétaires n’ont pas le droit de décider unilatéralement de la revente du bien.

À noter que le choix du conjoint survivant est davantage limité en présence d’enfants nés de différentes unions. En effet, celui-ci ne peut opter pour la jouissance en usufruit. Il recueille d’office le quart de la pleine propriété des biens.

 

La jouissance en pleine propriété et la gestion d’un bien indivis

Toujours dans le cas d’un bien immobilier, la jouissance en pleine propriété s’avère assez complexe par rapport au partage et ce, en présence de plusieurs enfants. Il s’agit en effet d’un bien indivis. Des solutions existent cependant, telles que la création d’une société civile immobilière (SCI familialeLa succession est une étape incontournable pour les proches du défunt. De plus, le partage de l’héritage peut souvent se révéler épineux dans les situations complexes, et il convient de bien connaître les droits de succession afin de mieux appréhender ce tournant. Qu’en est-il du conjoint survivant, en présence ou non d’héritiers réservataires, et quels sont ses droits ?   Des droits [...]

Pourquoi choisir l'assurance-vie pour préparer votre retraite ?

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L’assurance-vie fait partie des meilleurs placements répondant particulièrement à cet objectif, de même que le Plan PER.

 

Bloquer son épargne sur le très long terme

L’assurance-vie a pour principal avantage son extrême flexibilité, c’est-à-dire que vous pouvez déverrouiller votre épargne à n’importe quel moment. Cependant, vous choisirez plutôt de le bloquer sur le très long terme afin de pouvoir recevoir des rentes viagères, c’est-à-dire des compléments de revenus assez conséquents jusqu’à votre décès.

Si votre épargne est insuffisante, elle ne pourra être convertie en rente et dans ce cas, vous opterez plutôt pour la sortie en capital.

 

Epargner régulièrement en optant pour les versements programmés

Si vous disposez de revenus stables, par exemple en étant un salarié ou un travailleur indépendant, l’option versements programmés se révèle judicieuse pour faire fructifier votre épargne rapidement et de manière exponentielle.

Vous choisissez à l’avance le montant qui alimentera votre épargne. De même, à vous de déterminer la fréquence de ce versement : tous les mois, chaque trimestre, tous les 6 mois, ou encore tous les ans.

Pour définir le montant, il vaut mieux analyser votre situation financière, en dégageant les charges fixes. Vous prélèverez le montant de vos versements sur la somme restante.

 

La possibilité de modifier à tout moment les dispositions relatives aux versements

La situation de tout individu évolue au fil des ans, que ce soit sur le plan financier, professionnel ou personnel. Les besoins et les priorités sont modifiés, et c’est pourquoi, vous serez peut-être amené à réviser les dispositions relatives à votre versement programmé. Sachez que vous pouvez le faire à tout moment. Cependant, il vaut mieux éviter de retirer le capital constitué, sauf en cas de véritable urgence liée aux accidents de la vie.

 

Le choix de la l’allocation en termes de fonds

Sachez aussi que vous pouvez choisir vous-même la manière dont vos versements seront fructifiés. En effet, la somme que vous injectez dans une assurance-vie, et dans tous les contrats d’épargne, de manière générale, sont réinvestis sur des supports qui rapportent en fonction de leur propre taux de rendement. Ces supports diffèrent selon leur nature, leurs performances et aussi les risques qui en sont associés. Vigilance donc, quant à leur choix. Ce sont les supports les plus dynamiques et donc qui rapportent qui sont les plus risqués. À éviter si vous êtes peu enclin aux risques, et surtout si le départ à la retraite est proche.

Vous pouvez solliciter l’accompagnement d’un conseiller en gestion de patrimoine dans la sélection de ces supports. Toutefois, il est tout à fait possible de laisser le soin à l’assureur d’organiser cet arbitrage, en particulier si vous ne disposez pas de toutes les connaissances en ce qu’il s’agit du fonctionnement des marchés financiers.

 

Les autres atouts que propose l’assurance-vie

Parmi les autres atouts de l’assurance-vie : la possibilité de défiscaliser pendant toute la durée de la constitution de votre épargne ! Le montant de vos versements viendra en effet diminuer l’assiette imposableLes réformes de la retraite sont toujours désavantageuses pour les futurs retraités, en particulier pour ceux à espérance de vie courte, ceux ayant débuté leur carrière tôt, ou encore ceux à revenus modestes. L’âge de départ légal est repoussé tandis que les revenus baissent après avoir quitté la vie active. Il devient donc primordial d’anticiper soi-même son propre [...]

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